Deux unités extérieures sur équerres murales pour un confort stable et des économies réelles dans un plex de Rosemont
Chez AirGreen, nous venons d’achever l’installation de deux thermopompes murales Gree – gamme R32 dans un plex en brique de Rosemont–La Petite-Patrie. L’objectif des propriétaires était clair : climatiser et chauffer efficacement deux logements, réduire les coûts d’exploitation et préserver l’esthétique de la façade. La configuration retenue — deux condenseurs indépendants fixés sur équerres murales galvanisées — permet une redondance naturelle, des cycles adaptés à chaque appartement et une maintenance simplifiée.
Contexte du bâtiment et besoin client
L’immeuble est un duplex typique de Rosemont : façade en brique rouge, soubassement crépi, ruelle arrière et dégagement latéral pour l’entretien. Chaque logement possède des besoins thermiques distincts (exposition solaire, étanchéité, occupation). Plutôt qu’un seul système multizone, le choix s’est porté sur deux systèmes mono-zone afin de :
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Segmenter la consommation et responsabiliser chaque occupant ;
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Optimiser les rendements (un compresseur par zone, modulation plus fine) ;
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Simplifier les interventions de service sans immobiliser tout l’immeuble.
 
Pourquoi Gree (gamme R32) pour le Grand Montréal
La gamme murale Gree en R-32 combine inverter et électronique de puissance éprouvée, avec des ratios saisonniers compétitifs pour nos hivers. Points marquants recherchés par les propriétaires de plex à Montréal, Laval, Longueuil, Rive Nord et Rive Sud :
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Modulation large pour maintenir la consigne sans surchauffe ni surrefroidissement ;
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Bruit contenu à l’extérieur comme à l’intérieur ;
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Réfrigérant R-32, à potentiel de réchauffement global réduit par rapport au R-410A ;
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Composants courants et disponibilité des pièces, atout pour la pérennité.
 
Selon le modèle exact et la puissance, ces appareils peuvent rencontrer les critères d’admissibilité à certaines subventions. Nous validons toujours le couple marque/modèle/capacité avant de s’engager dans un montage de dossier.
Implantation extérieure : propre, robuste, pensée pour l’hiver
Sur la photo, les deux condenseurs Gree sont posés sur des équerres murales lourdes, avec tampons anti-vibratiles bleus sous chaque pied. Cette configuration présente plusieurs avantages pour le Grand Montréal :
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Dégagement à la neige : les unités sont surélevées d’environ 45–60 cm par rapport au niveau du sol, ce qui limite l’accumulation dans la période de dégel et protège le bas de caisse.
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Libre circulation d’air : la distance au mur respecte les recommandations manufacturier, essentielle au dégivrage et à l’évacuation des condensats.
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Moins de salissures : l’implantation murale maintient les échangeurs à l’écart du gravier et du sel projetés par les pneus.
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Entretien facilité : l’accès aux côtés et au dessous reste dégagé pour le lavage saisonnier.
 
Le câblage d’alimentation chemine en conduit métallique (EMT) avec boîte de déconnexion positionnée à proximité — un détail de sécurité et conformité RBQ/CSA. Les lignes frigorigènes isolées suivent un trajet compact le long de la façade, sous un capping UV lorsqu’exposé, pour protéger l’isolant des intempéries.
Parcours des liaisons et gestion des condensats
Chaque système dessert une tête intérieure dédiée. Le parcours a été réfléchi pour minimiser la longueur équivalente et réduire les pertes de charge :
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Traversée murale derrière chaque tête lorsque possible (configuration “dos-à-dos”) ;
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Rayons de courbure respectés pour prévenir tout pincement des tubes en cuivre ;
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Drain gravitaire priorisé, avec pente contrôlée pour éviter le refoulement.
Dans les rares zones sans pente naturelle, nous prévoyons une pompe de condensats silencieuse ; ici, la gravité a suffi, réduisant l’entretien et le bruit. 
Méthodologie d’installation AirGreen
Notre procédure standard, suivie pour les deux systèmes, comprend :
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Relevé structurel (brique porteuse, joints, pontages métalliques) et positionnement des platines d’équerres sur ancrages adaptés.
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Percement calibré et pose de manchons pour éviter le frottement des tubes.
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Brasage/sertissage suivant la technologie du manufacturier, avec épreuve à l’azote et test d’étanchéité.
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Tirage au vide profond (objectif ≤ 500 microns) et maintien : indispensable à la longévité du compresseur et de l’huile.
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Ouverture du fluide, contrôle de surchauffe/sous-refroidissement, vérification des intensités.
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Validation fonctionnelle de chaque mode (froid/chaleur/dégivrage), lecture des codes de statut et consignes.
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Finition : cappings étanches, scellements, alignement horizontal des condenseurs pour une façade propre et symétrique.
 
Choix deux mono-zones vs une multizone : éléments de décision
Dans un plex, le double mono-zone s’impose souvent lorsque :
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Les charges thermiques diffèrent sensiblement d’un logement à l’autre ;
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On souhaite une facturation séparée ou une responsabilité claire par logement ;
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L’accès et la logistique d’entretien doivent rester indépendants ;
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La façade permet deux implantations harmonieuses (comme ici).
 
À l’inverse, un multizone est pertinent lorsque l’espace extérieur est restreint ou que plusieurs têtes d’un même logement doivent être alimentées par un seul condenseur. Nous réalisons systématiquement un dimensionnement tenant compte des longueurs de lignes, pertes de charge et contraintes de façade avant d’orienter le choix.
Résultats et gains attendus
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Confort d’été immédiat : capacité de refroidissement suffisante pour des pièces de vie et chambres, avec modulation inverter limitant les variations de température.
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Appoint de chauffage à l’intersaison, limitant le recours au système principal et abaissant la facture.
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Bruit extérieur maîtrisé grâce à l’orientation des ventilateurs et au support antivibratile.
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Maintenance : accès direct à chaque unité, possibilité d’intervenir sur un logement sans affecter l’autre.
 
Entretien CVAC recommandé
Pour maintenir les performances :
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Nettoyage des échangeurs extérieurs au printemps et à l’automne (eau basse pression, produits adaptés).
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Dégagement hivernal : garder 30–45 cm libres autour et sous les unités ; éviter les congères qui obstruent le dégivrage.
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Inspection annuelle par AirGreen : serrage électrique, contrôle de charge, lecture des historiques, test de fuite si nécessaire.
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À l’intérieur : filtres à dépoussiérer toutes les 4–8 semaines selon l’usage.
 
Subventions et admissibilité
Dans Montréal, Laval, Longueuil, Rive Nord et Rive Sud, plusieurs programmes exigent des performances saisonnières minimales et des capacités de chauffage à basse température. Comme les gammes Gree en R-32 offrent des déclinaisons variées, nous confirmons l’admissibilité sur la référence exacte (numéro de modèle, BTU, fiches techniques) et fournissons les pièces justificatives (factures détaillées, photos d’installation, numéros de série) lorsque le système correspond aux critères.
Ce que cette réalisation démontre
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Rigueur technique : vide poussé, essais d’étanchéité, respect des dégagements.
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Finition façade : alignement des condenseurs, équerres galvanisées et anti-vibratiles visibles.
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Pensée climat : hauteur adaptée à la neige, gestion du dégivrage, trajets courts.
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Accompagnement : conseils d’exploitation, entretien CVAC et aide à la paperasse quand les appareils y sont admissibles.
 
Conclusion
Cette installation de deux thermopompes murales Gree (R-32) à Rosemont–La Petite-Patrie illustre la manière dont AirGreen conçoit les projets pour les plex montréalais : efficacité énergétique, esthétique, et fiabilité sur le long terme. En optant pour deux systèmes indépendants, les propriétaires bénéficient d’un pilotage fin par logement, de rendements constants et d’une maintenance simplifiée — le tout prêt à affronter le climat du Grand Montréal.
