Thermopompes vs climatiseurs : qui nécessite le plus de nettoyage ? (Comparatif AirGreen inédit)

Les différences d’entretien entre une thermopompe murale et un climatiseur mural ne sont pas qu’une simple question de préférences techniques : elles ont un impact direct sur la durabilité de votre système CVAC, la qualité de l’air intérieur et l’efficacité énergétique de votre installation. Chez AirGreen, en tant que spécialistes du nettoyage, de l’entretien et du service CVAC à Montréal, Laval, Longueuil, sur la Rive Nord et la Rive Sud, nous avons accumulé une riche expérience terrain pour répondre à une question que de nombreux clients se posent : lequel des deux appareils exige le plus de nettoyage ? Voici notre analyse technique, concrète et basée sur nos interventions réelles.

Une différence de fonctionnement qui change tout

Même si les thermopompes murales et les climatiseurs muraux peuvent paraître similaires dans leur apparence et leur installation, leur fonctionnement diverge de manière significative.

Le climatiseur mural : un système unidirectionnel

Le climatiseur mural est conçu uniquement pour refroidir l’air ambiant. Il fonctionne principalement durant l’été, parfois de mai à septembre, selon les conditions climatiques de la grande région de Montréal. Il aspire l’air chaud intérieur, l’évacue vers l’extérieur, et injecte de l’air refroidi à l’intérieur.

La thermopompe : un appareil polyvalent

La thermopompe murale, quant à elle, est un système réversible. Elle fonctionne aussi bien en mode climatisation qu’en mode chauffage, souvent utilisée 10 à 12 mois par année. Cela signifie que les filtres, serpentins, ventilateurs et drainages sont sollicités bien plus fréquemment, ce qui augmente la fréquence d’encrassement.

Nos constats sur le terrain à Montréal et ses environs

Chez AirGreen, nous avons effectué des milliers de nettoyages professionnels sur tous types de systèmes CVAC. Voici ce que nous observons régulièrement lors de nos interventions :

• Les thermopompes murales présentent en moyenne 30 à 50 % plus d’accumulation de saleté (poussière, spores, moisissures, bactéries) que les climatiseurs muraux.

• L’utilisation en mode chauffage entraîne une accumulation supplémentaire de gras et de particules fines, particulièrement visible sur les roues de ventilation.

• Les thermopompes installées dans des cuisines ouvertes présentent des dépôts graisseux importants en raison de l’aspiration continue d’air ambiant.

• Sur la Rive Sud et à Laval, des maisons chauffées exclusivement à la thermopompe voient leur appareil s’encrasser même en hiver, contrairement aux climatiseurs saisonniers qui restent inactifs.

Éléments techniques à nettoyer : comparatif direct

Témoignage client : intervention à Longueuil

Mme Bélanger à Longueuil nous a contactés en mars pour un nettoyage complet de sa thermopompe Fujitsu KZAH de 12 000 BTU installée en 2022. Utilisée 11 mois par année, l’appareil soufflait moins fort et dégageait une légère odeur. À l’ouverture, nous avons constaté une épaisse accumulation sur la turbine et des bactéries logées dans le bac de drainage. Après un nettoyage complet à la vapeur et un rinçage pressurisé de l’évaporateur, les performances ont été entièrement restaurées. Mme Bélanger a noté une amélioration immédiate du confort et de la qualité de l’air.

Pourquoi cet écart d’encrassement ?

1. Durée d’utilisation

Les thermopompes fonctionnent à l’année, contrairement aux climatiseurs saisonniers.

2. Fonctionnement en chauffage

En mode chauffage, l’air passe en continu à travers les composants internes, exposant davantage l’unité à l’humidité et à la saleté.

3. Condensation

La condensation en mode chauffage favorise le développement de moisissures internes, particulièrement sur le ventilateur.

4. Habitudes d’entretien négligées

Nombre d’utilisateurs ignorent que leur thermopompe murale devrait être nettoyée deux fois par an au minimum, particulièrement en zone urbaine dense comme Montréal.

Les conséquences d’un nettoyage insuffisant

Ne pas entretenir une thermopompe ou un climatiseur entraîne des baisses de rendement jusqu’à 25 %, une surcharge du compresseur, une hausse des coûts d’électricité et un risque accru de contamination de l’air intérieur.

Signes que votre appareil a besoin d’un nettoyage :

• Perte de puissance ou d’air soufflé

• Odeurs désagréables à la mise en marche

• Présence visible de poussière ou de moisissures

• Fuites d’eau sous l’appareil

• Bruit de ventilation plus élevé que d’habitude

Notre service de nettoyage professionnel CVAC

Chez AirGreen, nous offrons un nettoyage complet CVAC pour thermopompes et climatiseurs muraux, incluant :

• Démontage sécuritaire de la coquille

• Nettoyage à haute pression de l’évaporateur

• Dégraissage et assainissement de la turbine

• Nettoyage et rinçage du drain de condensation

• Désinfection bactéricide des composants internes

• Inspection de l’unité extérieure

Nos interventions couvrent l’ensemble du Grand Montréal, de Pointe-Claire à Repentigny, en passant par Brossard, Saint-Eustache, Laval, Longueuil et plus encore.

Recommandations AirGreen : fréquence idéale d’entretien

Conclusion : thermopompe ou climatiseur, qui gagne ?

D’un point de vue entretien et nettoyage, la thermopompe murale est clairement l’appareil le plus exigeant. Elle nécessite un suivi plus régulier et une intervention professionnelle au moins deux fois par an pour garantir son efficacité, sa longévité et la salubrité de l’air intérieur.

Si vous possédez une thermopompe Gree, Fujitsu, Daikin, Bosch ou Sharp, nous vous conseillons vivement de planifier vos nettoyages saisonniers dès le printemps et l’automne.

Chez AirGreen, notre mission est claire : offrir un service d’entretien CVAC rigoureux, sécuritaire et durable pour tous les foyers de Montréal et ses environs. Ne laissez pas un manque de nettoyage réduire la performance de votre système — contactez-nous dès aujourd’hui pour une estimation gratuite.