Climatiseur Mural - Thermopompe HAXXAIR V2D R-454B | 24 000 BTU

En stock
Unité de gestion de stock: HVHZ-24V2D
Subvention Provinciale (LogisVert) : 2640$ (Mise à Jour : 26 Novembre 2025)
Numéro de Modèle (Intérieur) : HAHZ-24V2D
Numéro de Modèle (Extérieur) : HVHZ-24V2D
AHRI : 215887342
ENERGY STAR® : Oui
ENERGY STAR® (Cold Climate) : Oui / Yes
# ID ENERGY STAR : 3712561
Capacité de Chauffage : -25°C
Capacité de Refroidissement : 24 000 BTU
Gaz (Fréon) : R-454B
WiFi : En Option

SEER2 (Efficacité de climatisation en saison)

1 22.5 30

HSPF2 (Efficacité de chauffage en saison)

1 9.5 15

EER2 (Efficacité instantanée en climatisation)

1 12.5 20

COP à -8 °C (Rendement énergétique du chauffage)

1 1.8 3
Puissance Nominale : 24 000 BTU
Puissance à -8 °C : 22000 BTU
Puissance à -15 °C : 19800 BTU
Dimensions Intérieure (L x P x H) : 42.5 x 9 x 11 po
Contrôle des volets - Vertical (Direction de l'air) : Auto
Contrôle des volets - Horizontal (Direction de l'air) : Auto
Niveau de Pression Sonore (Intérieur) : 39 / 50 dB(A)

CFM (Débit d'air)

1 706
Dimensions Extérieures (L x P x H) : 35.38 x 13.5 x 29.5 po
Tuyauterie : 1/4 - 5/8 po
Niveau de Pression Sonore (Extérieur) : dB(A)
Tension : 220V
MCA (Ampacité minimale du circuit) : 22A
MOP (Protection maximale surintensité) : 35A
Garantie (Compresseur - Pièces - Main-d’œuvre) : 10-10-0 ans
Garantie Supplémentaire : Possible

Climatiseur Mural - Thermopompe HAXXAIR V2D R-454B | 24 000 BTU

Une thermopompe 24 000 BTU pensée pour le vrai climat du Québec (et pour les maisons qui veulent du confort stable)

À Montréal, Laval, Longueuil, sur la Rive Nord et la Rive Sud, une thermopompe murale 24 000 BTU est rarement un achat impulsif. Ce format est généralement choisi quand il y a un enjeu clair : grand espace à aire ouverte, étage supérieur qui surchauffe, rez-de-chaussée difficile à stabiliser, ou bâtiment dont l’ensoleillement et l’isolation ne pardonnent pas.

Chez AirGreen, nous voyons souvent des clients qui ont déjà “un système” qui fonctionne… mais qui ne livre pas le confort attendu. Le problème n’est pas toujours la marque : c’est la combinaison entre le bon dimensionnement, le bon emplacement, une installation propre, et une logique d’utilisation adaptée aux saisons du Québec.

La HAXXAIR V2D R-454B | 24 000 BTU vise précisément ce type de besoin : une machine murale capable de refroidir sérieusement l’été et de maintenir une capacité de chauffage utile quand la température descend. Elle s’appuie aussi sur un réfrigérant plus récent (R-454B, catégorie A2L) et sur une conception axée “climat froid”, où la gestion du dégivrage et des condensats devient un vrai sujet — pas un détail.

Les informations clés (modèle 24 000 BTU)

Quand nous préparons une soumission ou une planification d’installation, voici les données qui comptent réellement :

  • Capacité de refroidissement : 24 000 BTU

  • Capacité de chauffage : jusqu’à -25°C

  • Puissance nominale : 24 000 BTU

  • Puissance à -8 °C : 22 000 BTU

  • Puissance à -15 °C : 19 800 BTU

  • SEER2 : 22,5 (efficacité saisonnière en climatisation)

  • HSPF2 : 9,5 / 7,7 (selon évaluation)

  • EER2 : 12,5

  • COP à -8 °C : 1,85

  • Débit d’air : 1706 CFM (débit élevé, utile pour grands volumes)

  • Wi-Fi : en option

  • Réfrigérant : R-454B (A2L)

  • ENERGY STAR® : Oui + ENERGY STAR® Cold Climate : Oui

  • AHRI : 215887342

  • ID ENERGY STAR : 3712561

  • Numéros de modèle :

    • Intérieur : HAHZ-24V2D

    • Extérieur : HVHZ-24V2D

  • Alimentation : 220V

    • MCA : 22A

    • MOP : 35A

  • Tuyauterie : 1/4 – 5/8

  • Dimensions unité intérieure (L x P x H) : 42,5 x 9 x 11 po

  • Niveau sonore intérieur : 39 / 50 dB(A)

  • Dimensions unité extérieure (L x P x H) : 35,38 x 13,5 x 29,5 po

  • Garantie : 10-10-0 ans (compresseur – pièces – main-d’œuvre)

  • Garantie supplémentaire : possible

  • Subvention provinciale (LogisVert) : 2640$ (mise à jour : 26 novembre 2025)

Le point important : ces chiffres ne servent pas à “impressionner”. Ils servent à éviter les mauvaises surprises : confort inégal, machine qui force, cycles trop courts, bruit inutile, ou rendement décevant.

Pourquoi le R-454B est un vrai sujet (et pas seulement une ligne de fiche technique)

Le marché CVAC change, et les réfrigérants font partie des éléments qui évoluent. Le R-454B est une génération plus récente, reconnue pour un PRG (potentiel de réchauffement global) plus bas que certains réfrigérants plus anciens, et sans impact sur la couche d’ozone.

Pour un propriétaire, l’intérêt n’est pas uniquement “écologique”. C’est aussi un choix qui peut favoriser :

  • une meilleure compatibilité avec les orientations du marché à moyen terme,

  • une approche plus moderne côté conception d’équipements,

  • une gestion de service et d’entretien alignée avec les pratiques actuelles (outillage, procédures, formation).

Chez AirGreen, quand nous installons une thermopompe au R-454B, nous appliquons une discipline stricte sur :

  • la qualité des raccords (évasements précis, couples de serrage cohérents),

  • la mise sous vide et les tests d’étanchéité,

  • la propreté des lignes (éviter humidité et contamination),

  • la documentation (utile pour la garantie, et pour une traçabilité claire du dossier).

Inverter DC : l’impact concret sur la stabilité de température

On voit “Inverter” partout. La différence, c’est ce que ça donne dans une vraie maison de Montréal ou de Laval, avec ses variations de charge.

Un système Inverter DC ajuste sa puissance au lieu de fonctionner en mode tout-ou-rien. Dans un quotidien typique, cela apporte :

  • moins de montagnes russes de température (confort plus stable),

  • moins de démarrages brutaux (souvent plus silencieux),

  • une gestion plus fine pendant les mi-saisons, quand le besoin est léger mais constant.

Pour un grand espace, c’est particulièrement utile : on veut une machine capable de “pousser” quand il fait très chaud, mais aussi capable de se stabiliser sans surconsommer quand le soleil baisse ou que la maison est déjà proche du point de consigne.

Climat froid : la réalité du dégivrage et de l’eau

Le chauffage par thermopompe en hiver, ce n’est pas seulement “ça chauffe”. Les cycles de dégivrage sont normaux : l’unité extérieure doit périodiquement dégeler son échangeur, et cela produit de l’eau qui doit s’écouler correctement.

Dans nos interventions de service (toutes marques confondues), les problèmes d’hiver les plus fréquents viennent de :

  • drainage obstrué,

  • accumulation de glace sous l’unité,

  • unité trop près du sol,

  • emplacement exposé aux rafales et aux congères,

  • base ou support mal adapté.

Cette unité est conçue avec une logique de prévention de la glace au niveau du bac de condensation de l’unité extérieure, ce qui aide à limiter l’accumulation de neige/glace dans les périodes critiques. Et même avec un bon équipement, l’installation fait une énorme différence : hauteur du support, dégagement, orientation, gestion du ruissellement, et distance par rapport aux zones où la neige s’accumule.

Silencieux : ce qu’on mesure sur le terrain (au-delà du dB)

Le niveau sonore annoncé est utile, mais le résultat final dépend fortement de l’environnement :

  • Unité intérieure : une fixation sur une cloison légère peut amplifier les vibrations. Un mur porteur, un bon ancrage, et un passage de lignes bien “désolidarisé” réduisent souvent le bruit perçu.

  • Unité extérieure : un coin résonnant entre deux surfaces, ou un support posé sur une structure creuse, peut augmenter le bruit. À l’inverse, une implantation réfléchie, un support adapté, et des dégagements suffisants donnent un résultat nettement plus agréable.

C’est un aspect que nous traitons sérieusement chez AirGreen, surtout en condo (Plateau, Verdun, Griffintown) où la tolérance au bruit est faible, et où les voisins sont proches.

Wi-Fi en option : utile si on l’utilise comme un outil de gestion, pas comme un gadget

Le Wi-Fi, quand il est utilisé intelligemment, devient un avantage concret. Dans la pratique, nos clients s’en servent surtout pour :

  • préconditionner la maison (température confortable avant d’arriver),

  • gérer les horaires (réduire légèrement la nuit, remonter le matin),

  • éviter les “rattrapages” agressifs (qui consomment plus et sont moins confortables),

  • suivre les consignes à distance (logement secondaire, location, chalet).

Et surtout : le Wi-Fi aide à adopter une logique simple qui améliore le confort et le rendement — garder une température stable plutôt que de couper complètement et de repartir à pleine puissance.

Dimensions, débit d’air et diffusion : le trio qui change l’expérience

Sur une machine 24 000 BTU, le débit d’air (1706 CFM) est un atout, mais il doit être maîtrisé. Une diffusion mal orientée peut créer :

  • un courant d’air désagréable,

  • une zone trop froide près de l’unité,

  • une pièce adjacente qui reste chaude.

C’est pourquoi nous accordons une grande importance à :

  • l’emplacement (hauteur, distance, orientation),

  • l’ajustement des volets (vertical/horizontal en mode auto ou paramétré),

  • les tests réels après mise en service (confort ressenti, vitesse de ventilation, répartition dans l’espace).

Électricité : le détail qui bloque des projets (et comment l’éviter)

Dans le résidentiel à Montréal et sur la Rive Sud, il arrive régulièrement qu’un projet soit techniquement bon… mais que le panneau électrique impose des ajustements.

Avec 220V, MCA 22A et MOP 35A, on doit s’assurer que :

  • le calibre de fil est conforme,

  • la protection est adéquate (disjoncteur approprié),

  • le trajet électrique est planifié proprement,

  • le panneau a la capacité nécessaire (ou qu’une mise à niveau est envisagée).

Chez AirGreen, nous anticipons cet aspect dès l’estimation, parce que l’électricité peut être le facteur qui décide de la date d’installation, du coût total, et parfois du choix final.

Installation AirGreen : ce qui fait la différence entre une bonne thermopompe… et un résultat vraiment satisfaisant

Une thermopompe murale 24 000 BTU est souvent choisie pour des espaces où l’erreur se paye : grands volumes, haut plafond, configuration ouverte, ou contraintes architecturales. Une installation “correcte” peut donner un résultat moyen. Une installation rigoureuse donne un confort net, stable, et durable.

Notre méthode AirGreen (résidentiel et petits immeubles)

Sans rentrer dans des promesses vagues, voici les étapes qui expliquent pourquoi certains systèmes semblent “exceptionnels” dans une maison et seulement “acceptables” dans une autre :

1) Validation du besoin réel (pas seulement “la surface en pieds carrés”)

Nous tenons compte de :

  • l’isolation,

  • l’exposition (plein sud, grandes fenêtres),

  • les étages et les escaliers,

  • l’usage des pièces (cuisine, télétravail, chambre),

  • les sources de chaleur internes (cuisinière, sécheuse, équipements, serveurs/PC).

Une thermopompe trop petite va courir après la température. Une thermopompe trop grosse peut réduire la qualité de déshumidification en climatisation, et créer un confort moins agréable.

2) Choix de l’emplacement intérieur : l’air doit “voyager”

Sur les projets de Montréal et Longueuil, nous rencontrons souvent des salons-cuisines qui semblent simples, mais où l’air se comporte de façon surprenante (recoins, murs porteurs, corridor).

Nous privilégions un placement qui :

  • évite de souffler directement sur le canapé ou la table,

  • permet à l’air de contourner les obstacles,

  • favorise un brassage naturel (et non un “jet” local).

3) Parcours des lignes et drainage : la qualité invisible

Un système mural, c’est aussi :

  • des lignes frigorifiques propres,

  • une isolation des tuyaux bien posée,

  • une pente de drainage cohérente,

  • un passage qui évite les points de frottement et les vibrations.

C’est souvent là que se joue la différence entre un système silencieux et un système qui “cliquette” ou transmet des vibrations au mur.

4) Mise en service et réglages : la dernière étape qui change tout

La mise en service ne se limite pas à “allumer”. Nous vérifions :

  • le comportement en climatisation et en chauffage,

  • la stabilité de la consigne,

  • le débit et la diffusion,

  • la réponse de l’unité extérieure,

  • les paramètres de confort (ventilation, volets, modes).

Le client doit partir avec une logique d’utilisation claire, parce qu’un bon réglage au départ évite des appels de service inutiles.

Cas réel 1 : Montréal – duplex rénové, aire ouverte très ensoleillée

Contexte : salon et cuisine regroupés, grandes fenêtres, planchers chauffants partiels, et une sensation de “four” l’après-midi en juillet.
Ce que nous faisons :

  • validation du besoin en climatisation (ensoleillement + cuisson + occupants),

  • mise en place d’un système à 24 000 BTU pour absorber les pointes,

  • réglage de la diffusion pour éviter un courant d’air direct.

Résultat typique : confort plus stable, et moins de “surventilation” agressive, parce que la machine peut travailler à un régime efficace au lieu d’être constamment à la limite.

Cas réel 2 : Laval – escalier central, chambres à l’étage trop chaudes

Contexte : maison à deux étages, escalier ouvert, chaleur qui monte rapidement, et climatisation existante insuffisante à l’étage.
Erreur fréquente : placer l’unité intérieure trop bas ou orienter le souffle de façon à refroidir le rez-de-chaussée uniquement.
Notre approche :

  • position stratégique pour que l’air atteigne naturellement la zone qui en a besoin,

  • orientation des volets et réglage de la ventilation selon les périodes.

Résultat typique : étage plus habitable l’été, et chauffage d’appoint moins sollicité pendant l’hiver.

Cas réel 3 : Longueuil – bungalow avec sous-sol, inconfort en mi-saison

Contexte : client qui coupe complètement la machine la nuit et la relance le matin “à fond”, entraînant inconfort et consommation plus élevée.
Notre intervention :

  • explication simple de la logique Inverter,

  • mise en place d’une routine de consigne stable,

  • recommandation d’utilisation du Wi-Fi (si installé) pour automatiser les horaires.

Résultat typique : confort plus constant, réduction des pics de puissance, et moins de plaintes liées aux variations de température.

Les erreurs fréquentes à éviter (nous les voyons en service, toutes marques confondues)

  1. Sous-dimensionnement : l’appareil tourne presque sans pause, la maison ne rattrape pas.

  2. Sur-dimensionnement : cycles courts, déshumidification moins efficace, sensation “humide-froid” en climatisation.

  3. Mauvais emplacement : l’air ne circule pas dans les zones utiles.

  4. Drainage négligé : problèmes d’eau, surtout en chauffage et lors des dégivrages.

  5. Électricité improvisée : choix de disjoncteur inadéquat, câblage non conforme, contraintes de panneau ignorées.

  6. Entretien oublié : filtres encrassés, débit réduit, rendement en baisse.

Avec une machine de cette catégorie, on veut éviter à tout prix le scénario “ça marche, mais ce n’est pas agréable”.

Subvention LogisVert : comment éviter les blocages administratifs

Une subvention affichée ne garantit pas automatiquement un remboursement : le dossier doit être cohérent, complet, et conforme. Pour une thermopompe comme celle-ci, les éléments typiques à bien aligner comprennent :

  • les modèles intérieur/extérieur exacts,

  • la référence AHRI,

  • les preuves d’installation et la facture,

  • les informations demandées par le programme.

Chez AirGreen, nous structurons le dossier dès le départ : cela réduit les délais, et évite les erreurs de saisie qui obligent le client à recommencer une partie du processus.

Garantie 10-10-0 : comment la lire de façon utile

La garantie annoncée 10-10-0 ans (compresseur – pièces – main-d’œuvre) doit être interprétée avec précision. Dans la vie réelle, les questions qui reviennent le plus souvent sont :

  • quelles conditions doivent être respectées (enregistrement, entretien, preuves),

  • comment se déroule une réclamation (délais, pièces, diagnostic),

  • ce qui est inclus et ce qui ne l’est pas,

  • quelles options existent si on veut une couverture additionnelle (quand c’est possible).

Chez AirGreen, nous aimons clarifier ces éléments au moment de la soumission, pour que le client sache exactement comment son investissement est protégé.

Entretien recommandé : simple, mais déterminant pour la performance

Pour conserver les avantages d’efficacité et de confort, nous recommandons une routine claire :

  • Filtres : nettoyage régulier (plus fréquent si animaux, poussière, travaux).

  • Unité extérieure : dégagement des feuilles, contrôle des accumulations de neige, espace de respiration.

  • Drainage : vérification visuelle périodique (surtout en hiver).

  • Inspection préventive : utile pour repérer une baisse de rendement, un début de fuite, ou un encrassement interne.

Un entretien cohérent, c’est souvent la différence entre une machine qui reste stable pendant des années et une machine qui “perd” progressivement son confort.

Pourquoi choisir AirGreen pour ce type de thermopompe murale 24 000 BTU

Dans la grande région de Montréal, beaucoup d’offres se ressemblent sur papier. La différence se voit sur le résultat :

  • nous planifions l’installation selon la réalité du bâtiment (et pas seulement selon un modèle “type”),

  • nous installons avec une discipline frigorifique stricte (qualité des raccords, mise sous vide, étanchéité),

  • nous accordons une vraie importance au confort réel : diffusion, bruit, routine d’utilisation,

  • nous restons structurés sur la documentation (utile pour subventions et garanties),

  • nous privilégions une approche transparente : vous savez ce qui est fait, pourquoi, et comment l’utiliser.

Prochaine Étape!
Pour une estimation, une validation de dimensionnement, ou une installation de la HAXXAIR V2D R-454B | 24 000 BTU à Montréal, Laval, Longueuil, sur la Rive Nord ou la Rive Sud, contactez AirGreen. Nous vous proposons une recommandation claire, une installation rigoureuse, et un résultat orienté confort durable.