Thermopompe centrale FUJITSU CENTAURI XLTH R32 | -30°C | 4 Tonnes - 48000 BTU

En stock
Unité de gestion de stock: AOUH48KUAH1
Subvention Provinciale (LogisVert) : 4080$ (Mise à Jour : 26 Novembre 2025)
Numéro de Modèle (Extérieur) : AOUH48KUAH1
Numéro de Modèle (Intérieur) : AMUH48KUAS
AHRI : 217895718
ENERGY STAR® : Oui
ENERGY STAR® (Cold Climate) : Oui / Yes
# ID ENERGY STAR : 4511774
Capacité de Chauffage (Thermopompe) : -30°C
Capacité de Refroidissement : 48 000 BTU
Gaz (Fréon) : R-32
WiFi : En Option

SEER2 (Efficacité de climatisation en saison)

1 19.0 30

HSPF2 (Efficacité de chauffage en saison)

1 10.2 15

EER2 (Efficacité instantanée en climatisation)

1 11.2 20

COP à -8 °C (Rendement énergétique du chauffage)

1 1.96 3
Taille : 4 Tonnes
Puissance Nominale : 48 000 BTU
Puissance à -8 °C : 34000 BTU
Puissance à -15 °C : 51000 BTU
Dimensions Intérieure (L x P x H) : 21 x 21 x 48 po
Dehumidification : pt/h
Niveau de Pression Sonore (Intérieur) : 34 / 51 dB(A)

CFM (Débit d'air)

1 1600
Dimensions Extérieures (L x P x H) : po
Tuyauterie :
Niveau de Pression Sonore (Extérieur) : dB(A)
Tension : 220V
MCA (Ampacité minimale du circuit) : A
MOP (Protection maximale surintensité) : A
Garantie (Compresseur - Pièces - Main-d’œuvre) : 12-12-0 ans
Garantie Supplémentaire : Possible

Quand une thermopompe centrale “marche”, ça ne se remarque presque pas — et c’est exactement le but

Une thermopompe centrale réussie, ce n’est pas celle dont on parle tous les jours. C’est celle qui fait oublier qu’il fait -22°C dehors. Personne ne se lève en se disant : « Wow, quel dégivrage élégant ! » On se lève, on marche pieds nus, et la maison est simplement… normale. Stable. Confortable.

C’est précisément là que se situe l’intérêt d’un modèle comme la FUJITSU CENTAURI XLTH R32 en format central. Oui, les chiffres sont importants (4 tonnes, 48 000 BTU, -30°C), mais ce n’est pas ce qui fait rester un propriétaire sur une page web — ni ce qui lui fait signer. Ce qui compte, c’est de comprendre pourquoi certaines maisons à Montréal, Laval, Longueuil, sur la Rive Nord ou la Rive Sud ont besoin d’un système central robuste, et comment éviter les erreurs qui transforment un bon équipement en expérience ordinaire.

Chez AirGreen, on voit la différence dans les mêmes phrases qui reviennent après une installation bien pensée :

  • « On ne se chicane plus avec le thermostat. »

  • « Le sous-sol est enfin vivable en hiver. »

  • « La chambre au-dessus du garage n’est plus glaciale. »

  • « On a arrêté d’entendre le système “partir-arrêter-partir”. »

Ces phrases-là ne viennent pas d’une brochure. Elles viennent d’un travail de CVAC où la machine est importante, mais où la conception et la mise en service font le vrai résultat.

Le vrai portrait des maisons du Grand Montréal : conduits, étages, et zones “capricieuses”

Dans notre réalité terrain, le “format central” arrive souvent dans trois situations très concrètes.

1) Les maisons avec conduits existants
À Laval (Chomedey, Duvernay) et sur la Rive Nord (Boisbriand, Blainville), on tombe souvent sur des propriétés où une fournaise ou un ancien système central a déjà laissé un réseau de conduits. Le réflexe naturel : “On remplace par une thermopompe centrale.” Sauf qu’un réseau de conduits, ce n’est pas un simple tuyau géant : c’est un système de distribution avec ses défauts cachés — fuites, retours d’air trop faibles, sections écrasées, conduits non isolés dans une zone froide.

2) Les maisons à étages et les aires ouvertes
À Montréal (Ahuntsic, Rosemont, Villeray) et à Longueuil, on voit souvent le même scénario : aire ouverte au rez-de-chaussée, étages qui prennent le soleil, sous-sol qui “aspire” le chauffage, et une sensation de température différente selon l’endroit où on se trouve. Une thermopompe centrale performante aide… mais seulement si on traite le problème comme un équilibre d’air, pas comme un simple achat de puissance.

3) Les propriétaires qui veulent une expérience “invisible”
Beaucoup de clients nous disent : “Je veux arrêter de gérer.” Pas de machines murales visibles, pas de pièces “oubliées”, pas de surprises. Une thermopompe centrale bien dimensionnée et bien réglée, c’est souvent la réponse.

Ce que la “capacité à -30°C” change réellement dans une maison (et ce que ça ne change pas)

Dire qu’un système est conçu pour fonctionner à très basse température, ce n’est pas une promesse magique : c’est une indication sur sa capacité à continuer à chauffer efficacement quand le froid devient sérieux. Dans le Grand Montréal, l’enjeu n’est pas seulement de survivre à un -30°C ponctuel : c’est d’être confortable pendant les longues séquences où il fait -10, -15, -20… et où le système tourne beaucoup.

Dans ces périodes-là, deux choses deviennent visibles :

La stabilité
Un système central bien adapté doit maintenir une température intérieure sans montagnes russes. Quand le dimensionnement est mauvais, on observe des cycles courts (démarrage/arrêt fréquent) ou, au contraire, un fonctionnement trop “poussé” qui n’arrive pas à suivre la demande. Dans les deux cas, le confort en prend un coup.

Le coût d’exploitation
Ce n’est pas la journée la plus froide qui coûte cher, c’est la répétition. Quand un système est mal intégré (conduits fuyants, retours d’air insuffisants, mauvais réglages), on compense… et la consommation suit. C’est pour ça que, chez AirGreen, on parle autant de distribution d’air que de machine.

R-32 : pourquoi c’est un sujet sérieux, mais pas une inquiétude pour le client

Le réfrigérant R-32 est un marqueur de génération : on le retrouve sur des équipements modernes, et il implique une rigueur professionnelle dans la manipulation. Pour un client, ce qui devrait le rassurer n’est pas un discours technique interminable, mais une réalité simple : l’installation est faite par des frigoristes qui travaillent avec des procédures strictes.

Sur le terrain, ça veut dire :

  • une mise sous vide faite correctement (pas “à moitié”),

  • un contrôle d’étanchéité sérieux,

  • un souci de propreté et de protection (l’humidité et les contaminants sont des ennemis silencieux),

  • et surtout, une mise en service qui ne se limite pas à “ça marche”.

Une thermopompe centrale, ce n’est pas une ampoule qu’on visse. Quand la mise en service est bâclée, on le paie plus tard — souvent au pire moment : un soir de janvier.

Les erreurs qu’on corrige le plus souvent : ce n’est pas la machine le problème… c’est le système autour

Dans nos appels de diagnostic à Montréal et sur la Rive Sud, il y a une constante : le client croit que “la thermopompe est mauvaise”. En réalité, la plupart du temps, elle est juste mal servie.

Le piège #1 : choisir “4 tonnes” parce que “c’est gros donc ça chauffe”

On comprend l’idée. Mais la CVAC fonctionne rarement comme ça. Trop gros, ça peut donner :

  • des cycles courts,

  • une sensation d’air trop intense aux grilles,

  • une humidité moins bien gérée en été,

  • et une usure accélérée.

Trop petit, c’est l’inverse :

  • le système peine,

  • l’appoint embarque trop souvent,

  • certaines zones restent froides,

  • et le confort devient une négociation permanente.

Notre approche chez AirGreen : on dimensionne pour votre bâtiment (pertes thermiques, volumes, conduits), pas pour une impression.

Le piège #2 : ignorer les retours d’air

Le retour d’air, c’est le “poumon” du système. Si le retour est insuffisant, le système force. Et quand le système force, on obtient du bruit, une mauvaise distribution, et parfois même des symptômes qui ressemblent à une défaillance.

On a vu des maisons à Laval où le problème venait simplement d’un retour trop restrictif — une correction intelligente a rendu le confort stable, sans changer l’unité. C’est exactement le genre de travail invisible qui rend un projet réussi.

Le piège #3 : l’hiver, c’est aussi de l’eau (et de la glace)

Une thermopompe en mode chauffage gère de la condensation et des cycles de dégivrage. Une installation bien pensée prévoit :

  • un drainage fiable,

  • un positionnement extérieur cohérent (éviter les zones où la glace s’accumule),

  • et une logique de protection hivernale.

Ce n’est pas glamour, mais c’est ce qui évite les appels de service “incompréhensibles” quand tout gèle.

Comment on rend cette thermopompe centrale intéressante : en parlant de la vie réelle, pas seulement des spécifications

Les spécifications, vous les avez déjà sur votre site. Ce qui manque souvent sur le web, c’est le “mode d’emploi” réel : comment une thermopompe centrale de ce calibre s’intègre dans la vie d’un propriétaire.

Scénario réaliste : “On veut arrêter de chauffer le sous-sol pour chauffer le salon”

C’est une phrase qu’on entend souvent à Montréal et Longueuil. La maison a un sous-sol qui capte le chauffage, pendant que le salon reste un peu frais. La solution ne consiste pas à “pousser plus fort”. Elle consiste généralement à :

  • équilibrer les débits,

  • corriger certaines fuites ou restrictions,

  • s’assurer que le retour d’air fait son travail,

  • et ajuster le fonctionnement pour viser la stabilité.

Dans ce type de projet, une thermopompe centrale comme la CENTAURI XLTH peut donner un résultat très satisfaisant — non pas parce qu’elle est “forte”, mais parce qu’elle est installée comme un système complet.

Scénario réaliste : “La chambre au-dessus du garage, c’est toujours l’enfer”

Classique. Très fréquent sur la Rive Nord et en banlieue. Ici, l’erreur est de croire que la machine va régler un problème de conception du bâtiment. Souvent, il faut :

  • vérifier l’isolation,

  • ajuster la distribution d’air vers cette zone,

  • parfois revoir les conduits.

Quand c’est fait correctement, le changement est spectaculaire. Et c’est précisément là que l’expertise d’un installateur CVAC compte plus que le choix d’une marque.

Scénario réaliste : “On veut du central, mais on ne veut pas de surprises”

C’est l’une des raisons pour lesquelles AirGreen insiste sur une méthode claire :

  • estimation sur place gratuite (on voit ce que personne ne peut deviner sur photo),

  • proposition finale avant travaux (prix transparents),

  • installation par des frigoristes expérimentés,

  • et une logique simple : paiement à la fin, quand c’est terminé et satisfaisant.

L’avantage concret d’un projet AirGreen : la différence se voit après 30 jours… pas après 30 minutes

Beaucoup d’entreprises peuvent installer une unité. Ce qui distingue un bon projet, c’est ce que le client ressent après quelques semaines :

  • température homogène,

  • bruit maîtrisé,

  • thermostat “simple”,

  • confort stable même quand l’hiver insiste,

  • et un système qui ne donne pas l’impression de se battre.

Notre travail, c’est de transformer une fiche produit en un résultat réel, mesurable, durable.

Et côté subvention LogisVert ?

Vous affichez une valeur indicative sur votre page produit. Nous, ce qu’on fait en pratique, c’est de structurer le projet pour que le client ait les bonnes informations (modèles, références, documentation utile) afin d’éviter les erreurs qui compliquent les démarches. L’objectif est simple : que le client profite au maximum des programmes applicables, sans confusion.

Conclusion : si vous voulez un central “qui s’oublie”, c’est exactement le bon type de machine… avec la bonne installation

La Thermopompe centrale FUJITSU CENTAURI XLTH R32 est intéressante quand on la voit comme elle doit être vue : une base solide pour bâtir un confort central stable, même en hiver québécois. Mais le vrai gain vient de l’ensemble : conduits, équilibrage, mise en service, drainage, réglages, et suivi.

Pour un projet à Montréal, Laval, Longueuil, sur la Rive Nord ou la Rive Sud, contactez AirGreen : nous faisons une estimation sur place gratuite, nous analysons votre système central (conduits et besoins réels) et nous vous remettons une offre claire, complète et cohérente avec votre bâtiment.