Thermopompe Murale LG ARTCOOL PRESTIGE R32 | 24 000 BTU (-25°C)
SEER2 (Efficacité de climatisation en saison)
HSPF2 (Efficacité de chauffage en saison)
EER2 (Efficacité instantanée en climatisation)
COP à -8 °C (Rendement énergétique du chauffage)
CFM (Débit d'air)
Quand un 24 000 BTU devient un vrai « système de confort » dans une maison de Montréal
À Montréal, Laval, Longueuil, sur la Rive Nord et la Rive Sud, un 24 000 BTU n’est pas choisi “pour être plus fort”. Il est choisi pour être juste : assez de capacité pour stabiliser le confort, assez d’efficacité pour limiter la consommation, et assez de marge pour traverser nos pointes de froid sans transformer la maison en chantier de thermomètres.
La LG ARTCOOL PRESTIGE R32 24 000 BTU (-25°C) (unité intérieure KNSAL241A / unité extérieure KUSAL241A) fait partie des rares thermopompes murales qui combinent trois attentes très concrètes des propriétaires d’ici : une vraie capacité en chauffage par temps froid, une climatisation stable lors des canicules, et une expérience d’utilisation moderne (contrôle, confort, bruit, entretien). Chez AirGreen, nous l’installons dans des contextes très variés : condos urbains, plex, bungalows, maisons à aire ouverte, et même des propriétés où l’objectif est de réduire l’usage des plinthes électriques sans compliquer le quotidien.
Les chiffres qui comptent (et ce qu’ils signifient sur le terrain)
Les fiches techniques sont utiles… à condition de les traduire en impacts réels. Pour cette thermopompe murale 24 000 BTU, les points qui influencent directement le confort et les performances saisonnières sont :
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Capacité de refroidissement nominale : 24 000 BTU (avec une plage qui permet de moduler selon les besoins réels).
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Capacité de chauffage annoncée jusqu’à -25°C, ce qui correspond à notre réalité hivernale (et pas seulement à une utilisation “mi-saison”).
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Réfrigérant R-32, un choix qui s’inscrit dans l’évolution des réfrigérants modernes, avec une logique d’efficacité et de conformité environnementale.
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Inverter (vitesse variable) : au lieu d’alterner “plein régime / arrêt”, la machine ajuste en continu, ce qui améliore la stabilité du confort, réduit le bruit perçu et, souvent, diminue la consommation lors des longues périodes à charge partielle.
Ce que nous observons le plus souvent : quand une thermopompe murale de cette gamme est bien dimensionnée, elle ne “fait pas juste chauffer”. Elle stabilise l’ensemble de l’espace, évite les montagnes russes de température, et donne cette sensation de confort régulier qui fait oublier le système… ce qui est exactement l’objectif.
ARTCOOL : le design est visible, mais la logique est aussi technique
Le choix ARTCOOL vient souvent d’une contrainte simple : l’unité intérieure n’est pas cachée dans une salle mécanique. Dans un condo ou un salon à aire ouverte, elle fait partie du décor. Mais au-delà de l’esthétique, cette série est appréciée pour son approche “produit complet” : contrôle, modes intelligents, gestion de l’air, et fonctions pensées pour la vie quotidienne.
On retrouve généralement, sur cette configuration :
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Wi-Fi inclus, pratique pour ajuster la consigne à distance, gérer des horaires, ou vérifier rapidement un état de fonctionnement.
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Gestion automatique des volets (vertical et horizontal) pour mieux répartir l’air dans la pièce et limiter le souffle direct.
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Modes de confort (sommeil, minuterie, réglages finaux) qui permettent de réduire les irritants : trop froid la nuit, trop chaud au réveil, ou variations quand l’ensoleillement change.
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Fonctions d’assistance au diagnostic, utiles pour accélérer certaines vérifications et réduire le temps d’intervention lors d’un appel de service.
Dans notre pratique AirGreen, l’intérêt est double : le client obtient une utilisation plus simple, et nous pouvons structurer l’entretien CVAC de façon plus efficace, avec des points de contrôle clairs.
Pour qui ce 24 000 BTU est-il réellement pertinent ?
Un 24 000 BTU est souvent idéal dans les cas suivants (à valider sur place, car chaque bâtiment est unique) :
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Aires communes d’une maison (salon/cuisine/salle à manger) où l’on veut que la thermopompe fasse le gros du travail.
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Condo ou étage principal avec un volume d’air important et une exposition solaire marquée.
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Plex où l’objectif est de stabiliser l’unité principale, tout en gardant les pièces fermées avec un appoint minimal.
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Propriétés rénovées : quand l’isolation et l’étanchéité ont été améliorées, une thermopompe bien choisie donne des résultats impressionnants sur la facture.
À l’inverse, quand l’espace est très compartimenté (petites pièces fermées, couloirs, portes souvent closes), on doit être plus prudent : une murale chauffe et climatise très bien l’espace qu’elle “voit”, mais elle ne remplace pas une distribution d’air centralisée. C’est là que notre évaluation sur place devient déterminante : parfois, un multi-zone, parfois une autre stratégie, parfois un emplacement différent qui change tout.
Cas vécus AirGreen : 3 scénarios typiques à Montréal, Laval et Rive Sud
Scénario 1 – Condo à Griffintown (Montréal) : confort et silence dans un espace vitré
Ici, le défi n’était pas la superficie, mais l’ensoleillement et la réverbération sonore. Dans un condo vitré, la chaleur s’accumule vite et la climatisation doit réagir sans créer une sensation de courant d’air. Nous avons choisi un emplacement qui évite de souffler directement sur le coin travail, puis nous avons ajusté les réglages pour favoriser une diffusion plus progressive. Résultat : un confort plus stable, moins de variations, et un bruit perçu réduit, surtout le soir.
Scénario 2 – Bungalow à Vimont (Laval) : réduire les plinthes sans compliquer la routine
Le client utilisait surtout les plinthes électriques. L’objectif n’était pas “zéro plinthes”, mais “plinthes au minimum”. Nous avons dimensionné la machine pour que la thermopompe couvre l’aire ouverte et les zones de passage, puis nous avons expliqué une stratégie simple : consigne stable en chauffage, portes ouvertes à certaines heures, et ajustement léger selon les périodes de grand froid. Ce type de projet fonctionne très bien parce que la thermopompe devient la source principale, avec un appoint qui se déclenche seulement quand c’est nécessaire.
Scénario 3 – Cottage à Boucherville (Rive Sud) : performance hivernale et dégivrage maîtrisé
Le client avait une crainte légitime : “est-ce que ça va suivre en janvier ?” Une partie de la réponse est dans le produit, mais une autre est dans l’installation : dégagement autour de l’unité extérieure, gestion du drainage, emplacement qui réduit l’accumulation de neige, et mise en service rigoureuse. Dans ce type de chantier, on ne laisse rien au hasard : on pense aux épisodes de verglas, aux dégels, et à la façon dont l’eau s’évacue. Le résultat attendu n’est pas seulement une maison chaude, c’est une maison chaude sans surprises.
Installation AirGreen : ce que nous vérifions pour que la performance annoncée se retrouve chez vous
Une installation CVAC réussie, c’est un enchaînement de décisions simples, mais non négociables. Sur la LG ARTCOOL PRESTIGE R32 24 000 BTU, voici ce que nous cadrons systématiquement, parce que ce sont ces détails qui font la différence entre “ça marche” et “c’est agréable tous les jours”.
1) Dimensionnement : éviter deux erreurs coûteuses
Erreur #1 : surdimensionner “pour être certain”
Trop grand = cycles courts, humidité moins bien contrôlée en été, confort moins stable, et parfois une sensation “froid/chaud” qui revient sans cesse.
Erreur #2 : sous-dimensionner “pour économiser”
Trop petit = appareil à pleine charge trop souvent, appoint électrique plus fréquent, et performances qui plafonnent lors des pointes de froid.
Chez AirGreen, nous dimensionnons en fonction de l’architecture réelle : volumes, isolation, fenestration, orientation, infiltration d’air, habitudes (télétravail, présence constante, pièces fermées). À Montréal et sur la Rive Nord, deux maisons “semblables” sur papier peuvent se comporter très différemment selon l’exposition au vent, l’état de l’enveloppe, et la configuration des étages.
2) Emplacement de l’unité intérieure : le confort, ce n’est pas “souffler fort”
Avec une murale, l’objectif est de mélanger l’air sans créer de zone inconfortable. Un bon emplacement :
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limite le souffle direct vers un sofa, un lit ou une table à manger
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favorise un balayage de l’aire commune
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évite les obstacles qui cassent le flux (retombées, poutres, armoires hautes)
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maintient un accès réaliste pour l’entretien (filtres, nettoyage, inspection)
Dans certains cas, quelques dizaines de centimètres changent tout. On le voit souvent dans les condos et les pièces à aire ouverte : l’appareil peut être excellent, mais un mauvais angle de diffusion donne l’impression qu’il “force” alors qu’il manque juste une meilleure trajectoire.
3) Tuyauterie et finition : réduire les pertes et simplifier l’entretien CVAC
La tuyauterie n’est pas qu’un détail esthétique. Une ligne frigorifique bien conçue :
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réduit les risques de vibrations et de bruits
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protège l’installation contre l’usure (frottements, UV, chocs)
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facilite un futur diagnostic si un entretien est requis
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améliore la qualité globale de l’installation (et donc la satisfaction client)
Nous portons une attention particulière à la pente, à la protection, au passage des murs, au scellement, et au cache-tuyaux. Une belle finition n’est pas un luxe : c’est souvent un indicateur d’un travail méthodique.
4) Vacuum, étanchéité, mise en service : le point qui fait la réputation d’une installation
C’est ici que beaucoup de projets “moyens” se créent. Une mise en service sérieuse, c’est :
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un tirage au vacuum bien fait et contrôlé
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une vérification d’étanchéité
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un drainage testé (surtout si la pente est longue ou si l’unité est au-dessus d’un espace fini)
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une validation des modes (chauffage/climatisation) et du comportement général
Ce sont des étapes qui n’attirent pas l’attention sur une photo, mais qui déterminent la longévité et le rendement.
5) Électricité : conformité, sécurité, fiabilité
Cette machine fonctionne en 220V, et le raccordement doit respecter les règles de protection, d’ampacité et de câblage. Nous vérifions la capacité du panneau, la qualité du circuit, la protection appropriée, et nous documentons clairement ce qui a été installé.
À Laval et Longueuil, nous rencontrons souvent des maisons où des ajouts électriques ont été faits au fil des ans; notre rôle est de s’assurer que la thermopompe est raccordée correctement, sans compromis.
6) Unité extérieure : neige, glace, voisinage et dégagement
L’hiver n’est pas “une saison normale” pour une thermopompe au Québec. Il faut penser à :
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l’accumulation de neige
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l’écoulement d’eau lors des dégivrages
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le dégagement autour de l’unité pour respirer correctement
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les vibrations et la transmission sonore
En milieu urbain à Montréal, l’emplacement peut aussi être dicté par des contraintes de voisinage : distance d’une fenêtre, accès, règles de copropriété. C’est une partie du travail AirGreen : trouver une solution qui respecte les contraintes sans sacrifier la performance.
7) Bruit : ce que nous faisons pour que la machine se fasse oublier
Le bruit perçu dépend autant de l’installation que de l’appareil. Pour limiter les vibrations et les nuisances :
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supports anti-vibration adaptés au type de surface
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ancrage solide (éviter l’effet “tambour”)
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dégagement suffisant pour éviter les turbulences
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trajet de tuyauterie conçu pour ne pas vibrer dans les murs
Dans un condo, une bonne gestion du bruit, c’est aussi une bonne relation de voisinage. Nous traitons cet aspect comme un critère d’installation, pas comme une option.
8) Wi-Fi et utilisation au quotidien : l’objectif est la simplicité
Le Wi-Fi inclus est utile seulement si le client est à l’aise avec l’utilisation. C’est pourquoi nous prenons le temps d’expliquer une logique simple :
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consigne stable en chauffage (éviter des variations extrêmes)
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horaires réalistes (pas “off/on” agressif)
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utilisation des modes de confort selon les habitudes
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gestion intelligente lors d’absences (pas besoin de tout couper)
Une thermopompe mal pilotée peut devenir coûteuse, même si elle est efficace. Une thermopompe bien pilotée donne des gains mesurables et un confort plus régulier.
9) Entretien CVAC : ce que nous recommandons pour garder l’efficacité
Même avec des fonctions d’auto-nettoyage, l’entretien reste un levier majeur de performance. Notre recommandation, adaptée aux réalités des foyers de Montréal, Laval et Rive Sud :
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Filtres : inspection régulière, nettoyage selon la poussière et la présence d’animaux
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Drainage : vérification périodique pour éviter odeurs, débordements ou humidité
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Batterie extérieure : nettoyage doux, dégagement des feuilles, contrôle des obstacles
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Inspection saisonnière : valider la stabilité, écouter les bruits anormaux, vérifier la qualité de diffusion
Un entretien bien fait prolonge la durée de vie, maintient l’efficacité, et réduit le risque d’appels de service en plein hiver.
Ce que vous obtenez chez AirGreen (au-delà de la machine)
Choisir AirGreen, c’est choisir une démarche complète : évaluation sur place, offre finale claire avant travaux, installation par des techniciens expérimentés, et un suivi qui tient compte des réalités locales (Montréal, Laval, Longueuil, Rive Nord, Rive Sud).
Sur un modèle comme la LG ARTCOOL PRESTIGE R32 24 000 BTU (-25°C), notre valeur ajoutée se voit dans la cohérence : dimensionnement, emplacement, finition, mise en service, explications au client, et entretien planifié. C’est ce qui transforme une “bonne thermopompe” en investissement confortable et durable.
Prochaine Étape!
Pour une soumission et un dimensionnement adaptés à votre propriété à Montréal, Laval, Longueuil, sur la Rive Nord ou la Rive Sud, contactez AirGreen. Nous vous proposerons une solution claire, une installation CVAC soignée et une approche axée sur le confort réel, été comme hiver.
