Thermopompe centrale FUJITSU CENTAURI R32 | 1 Tonne - 12000 BTU
SEER2 (Efficacité de climatisation en saison)
HSPF2 (Efficacité de chauffage en saison)
EER2 (Efficacité instantanée en climatisation)
COP à -8 °C (Rendement énergétique du chauffage)
CFM (Débit d'air)
Une thermopompe centrale compacte, pensée pour le Québec et les maisons d’ici
À Montréal, Laval, Longueuil, sur la Rive Nord comme sur la Rive Sud, une grande partie des demandes en CVAC se ressemblent : un confort stable, une consommation maîtrisée, et un système qui s’intègre bien à la maison sans transformer le projet en chantier interminable. La thermopompe centrale Fujitsu Centauri R32 1 tonne (12 000 BTU) s’adresse exactement à ce type de réalité : une solution ductée (avec conduits) qui vise une performance sérieuse autant en climatisation qu’en chauffage, tout en restant flexible à installer, même dans des espaces mécaniques serrés.
Chez AirGreen, nous voyons souvent ce scénario : un propriétaire veut remplacer une vieille fournaise électrique bruyante, une thermopompe vieillissante, ou un assemblage “bricolé” (climatiseur + chauffage d’appoint) qui coûte cher en hiver. Il recherche un système central qui :
-
répartit l’air de façon homogène dans plusieurs pièces,
-
évite les écarts de température entre chambres et aire ouverte,
-
permet des réglages fins (débits, modes, horaires),
-
et demeure fiable quand l’hiver impose de vrais défis.
Cette Centauri se distingue par son approche très “terrain” : elle combine une unité extérieure Inverter et une unité intérieure de type air handler multi-position, ce qui donne une marge de manœuvre précieuse en rénovation comme en construction.
Ce que “1 tonne / 12 000 BTU” signifie réellement (et ce que ça ne veut pas dire)
On lit souvent “1 tonne = petit système”. En pratique, c’est un raccourci dangereux. Une capacité nominale de 12 000 BTU peut être idéale dans plusieurs contextes, à condition que le dimensionnement et la distribution d’air soient cohérents.
Dans notre pratique, 1 tonne est fréquemment pertinente pour :
-
des condos ou unités de copropriété bien isolés,
-
des maisons de ville avec réseaux de conduits optimisés,
-
certains bungalows où l’enveloppe a été améliorée (fenêtres, isolation),
-
des étages spécifiques lorsque la stratégie de zones est bien pensée,
-
ou des plex où la surface à traiter est réaliste et la circulation d’air bien gérée.
Ce qui fait la différence, ce n’est pas seulement le chiffre sur la fiche technique, mais :
-
la charge réelle du bâtiment (isolation, fenestration, infiltration),
-
le débit d’air disponible au bon endroit,
-
la pression statique du réseau,
-
et la façon dont le système module sa puissance au quotidien.
Une lecture simple des données techniques qui comptent vraiment
Les spécifications peuvent sembler “denses”, mais certaines lignes méritent une attention particulière, car elles expliquent le confort réel et les coûts d’opération.
-
Réfrigérant R-32 : plus moderne et généralement moins impactant que certains anciens réfrigérants. Dans la vraie vie, ça se traduit aussi par des équipements conçus autour de ce réfrigérant et des pratiques d’installation plus standardisées.
-
Technologie Inverter : la thermopompe ajuste sa puissance plutôt que de fonctionner en “plein régime” puis s’arrêter. Résultat : moins de variations de température, une sensation de confort plus continue, et souvent moins de pics de consommation.
-
Performance en temps froid : le point crucial au Québec. Quand le système est conçu pour maintenir le chauffage à des températures basses, cela réduit la dépendance à l’appoint électrique.
-
Efficacité saisonnière (SEER2 / HSPF2) : utile pour comparer des systèmes, mais toujours à remettre dans le contexte d’installation (conduits, réglages, usage).
-
Niveau sonore : un détail qui devient central dès qu’une unité est près d’une chambre, d’une cour arrière utilisée, ou d’un voisinage dense (typique de Montréal).
Chez AirGreen, nous utilisons ces données comme point de départ, puis nous traduisons tout ça en décisions concrètes : emplacement de l’unité extérieure, parcours des lignes, gestion des vibrations, choix du contrôle, réglages de ventilation.
Pourquoi le format “centrale ductée multi-position” change la donne
L’unité intérieure (air handler) multi-position permet de choisir une configuration adaptée au bâtiment : up-flow, left, right, et down-flow (avec kit requis selon la situation). Concrètement, cela veut dire qu’on peut s’adapter à :
-
un local mécanique étroit,
-
un plafond de sous-sol fini,
-
une salle mécanique dans un condo,
-
une rénovation où l’on doit composer avec des conduits déjà en place,
-
ou une maison où l’accès est limité (escaliers, plafonds bas, structure existante).
C’est exactement le type de flexibilité qui évite des “solutions de contournement” coûteuses (déplacer des murs, refaire une salle mécanique, reconstruire une plénum au complet, etc.).
Autre point très concret : la capacité de l’unité à pousser l’air dans un réseau réel. Dans plusieurs maisons, le réseau de conduits n’est pas parfait. Il y a des coudes, des transitions, des sections anciennes, des retours d’air parfois sous-dimensionnés. Un système central doit être capable de travailler avec cette réalité — et surtout, il faut l’installer et le régler pour y parvenir.
Installation et performance réelle: ce que nous validons systématiquement chez AirGreen
Une thermopompe centrale réussie, c’est une installation où le client oublie le système… parce que tout est stable. Pas de pièces “impossibles” à chauffer, pas de bruit de soufflerie irritant, pas d’humidité estivale qui revient sans cesse, pas de factures qui explosent dès que janvier s’installe.
Les modèles exacts et la traçabilité: un détail qui évite beaucoup de problèmes
Nous insistons toujours sur l’identification claire des unités, car c’est la base d’un service après-vente efficace :
-
Unité extérieure : AOUH12KUAS1
-
Unité intérieure : AMUH12KUAS
-
AHRI : 217290592
-
Certification : ENERGY STAR® et ENERGY STAR® Cold Climate (selon conditions d’admissibilité)
Pourquoi c’est important? Parce que les erreurs les plus coûteuses en service sont souvent des erreurs de compatibilité : mauvais accessoire, mauvais contrôle, ou pièce commandée pour une autre série.
Lignes frigorifiques: parcours, isolation, supports… la différence entre “ça marche” et “ça marche bien”
Dans une installation centrale, le parcours des lignes frigorifiques et du drainage de condensats est souvent là où se cachent les ennuis futurs.
Nous portons une attention particulière à :
-
la longueur totale de lignes et les limites réalistes,
-
la différence de hauteur entre unités,
-
l’isolation complète et continue (surtout dans des zones froides),
-
les supports et la protection mécanique (vibrations, frottements),
-
et la qualité des raccords (un détail crucial pour la stabilité).
Erreur fréquente qu’on voit en rénovation : des lignes tirées “au plus vite” dans un espace non chauffé, avec isolation incomplète, ou passage compressé derrière une finition. Le système peut fonctionner, mais avec des symptômes difficiles à diagnostiquer : bruits sporadiques, givrage, rendement inférieur, ou cycles moins stables.
Conduits et pression statique: le cœur du confort dans une thermopompe centrale
Les conduits sont le “réseau routier” de votre confort. Même la meilleure thermopompe centrale aura des performances décevantes si le réseau n’est pas cohérent.
Quand nous évaluons un projet, nous regardons notamment :
-
la présence de fuites (conduits, jonctions, plénums),
-
la qualité du retour d’air (souvent négligée),
-
les restrictions (coudes serrés, conduits écrasés, grilles sous-dimensionnées),
-
l’équilibrage entre pièces (chambres vs aire ouverte),
-
et la logique de distribution (où l’air souffle, où il revient, à quel débit).
Sur le terrain, c’est souvent ici qu’on “gagne” le projet. Exemple typique : une maison à Laval où les chambres à l’étage sont trop chaudes l’été et trop froides l’hiver. Avant de conclure que “la thermopompe n’est pas assez forte”, il faut souvent corriger l’équilibrage, améliorer le retour d’air et optimiser les débits. C’est une différence majeure entre un simple remplacement d’équipement et une vraie solution de CVAC.
Débits d’air, bruit et sensation: ce que le client ressent vraiment au quotidien
Le confort n’est pas seulement une température affichée. Les clients parlent surtout de sensations :
-
“On sent un courant d’air.”
-
“La soufflerie est trop bruyante la nuit.”
-
“Le salon est parfait, mais la chambre est glaciale.”
-
“L’été, l’air est frais mais l’humidité reste.”
Ces symptômes sont presque toujours liés à un trio :
-
débit d’air,
-
vitesse de ventilation,
-
équilibrage du réseau.
Avec un air handler central, on peut travailler finement :
-
réduire la vitesse pour éviter le bruit nocturne,
-
augmenter temporairement pour répondre à une pointe,
-
ajuster les grilles ou dampers pour équilibrer,
-
et optimiser la déshumidification estivale.
L’objectif : un confort stable, sans “effets secondaires”.
Humidité estivale et déshumidification: une attente très fréquente à Montréal et sur la Rive Sud
Dans plusieurs secteurs (près du fleuve, quartiers denses, maisons avec sous-sol), l’humidité estivale devient rapidement le vrai problème. Une thermopompe centrale ne sert pas seulement à refroidir : elle doit aussi donner une sensation d’air plus sec et plus confortable.
Ce que nous expliquons clairement :
-
La déshumidification dépend du temps de fonctionnement, des vitesses de ventilateur et de l’étanchéité du bâtiment.
-
Un ventilateur trop rapide peut réduire le temps de contact et donc l’extraction d’humidité.
-
Un réseau de conduits qui “ramasse” l’air humide du sous-sol sans stratégie peut nuire au confort.
Dans un projet à Longueuil, par exemple, le client avait l’impression que “la clim ne fait rien” alors que la température baissait. En réalité, l’humidité restait élevée. Après optimisation des vitesses et ajustement de la distribution (et correction de certaines entrées d’air parasite), la sensation de confort a complètement changé, sans augmenter inutilement la puissance.
Contrôle, Wi-Fi, thermostat: choisir la simplicité ou l’intégration intelligente
Un système central peut être géré de plusieurs façons : télécommande, thermostat, modules de communication, intégrations domotiques. Le piège, c’est d’ajouter des accessoires “pour le plaisir” sans cohérence.
Notre approche est simple :
-
Si le client veut un usage clair et robuste : on privilégie une logique de contrôle simple, lisible, facile à expliquer.
-
Si le client veut une gestion intelligente (horaires, contrôle à distance, intégration) : on choisit les options appropriées et on documente l’ensemble, pour que le système reste compréhensible dans 3 ans, pas seulement au moment de l’installation.
Dans les copropriétés et certains contextes commerciaux légers, une intégration plus avancée peut aussi être pertinente, mais elle doit être pensée dès le départ (pas ajoutée “après coup”).
Chauffage d’appoint: quand ça aide vraiment (et quand ça complique)
Un appoint électrique peut être un excellent outil… ou une source de coûts inutiles. Tout dépend du bâtiment.
Nous recommandons un appoint dans des cas concrets :
-
réseau de conduits difficile à équilibrer (mais améliorable),
-
zones plus exposées (pignons, grands vitrages),
-
besoin de stabilité à des températures extrêmes,
-
ou exigence particulière du client (confort absolu, continuité).
À l’inverse, dans une maison bien isolée, avec un dimensionnement juste, l’appoint peut rester très peu utilisé — ce qui est souvent l’objectif.
Subventions et admissibilité: ce qu’on clarifie dès le départ
Beaucoup de propriétaires arrivent sur une page produit avec une question très précise : “Est-ce que je suis admissible à une subvention?”
Chez AirGreen, nous clarifions rapidement :
-
les conditions d’admissibilité varient selon le programme,
-
les détails comme l’efficacité, la certification et l’identification du produit comptent,
-
et la documentation et la preuve d’installation jouent un rôle dans le dossier.
Notre méthode consiste à intégrer cette réalité dès le devis : le client doit comprendre ce qui est inclus, ce qui est nécessaire, et comment éviter les erreurs qui compliquent un remboursement.
Études de cas AirGreen: exemples concrets sur le terrain
Cas 1 — Montréal (Ahuntsic):
Duplex avec conduits existants, propriétaire fatigué d’un système bruyant et irrégulier. Notre diagnostic a montré un retour d’air insuffisant et des restrictions dans deux branches de conduits. Plutôt que de surdimensionner, nous avons corrigé la distribution, puis installé une solution centrale moderne. Résultat : confort beaucoup plus stable entre pièces, bruit perçu réduit, et fonctionnement plus “continu” (moins d’à-coups).
Cas 2 — Laval (Duvernay):
Maison de ville, local mécanique compact. Le client voulait un système central mais craignait une refonte complète. La flexibilité de configuration de l’unité intérieure a permis une intégration propre. Après mise en service, l’amélioration la plus appréciée n’était pas seulement la température : c’était la stabilité, surtout la nuit, et la possibilité d’ajuster simplement les horaires.
Cas 3 — Longueuil (Greenfield Park):
Propriété avec humidité estivale et sous-sol fini. Le client pensait qu’il fallait “plus gros”. En réalité, l’enjeu venait du débit d’air et de la circulation globale. Une optimisation des vitesses, un équilibrage, et une stratégie de retour d’air ont transformé le confort sans augmenter la capacité nominale.
Cas 4 — Rive Nord (secteur résidentiel avec vents et congères):
Installation où l’emplacement de l’unité extérieure devait tenir compte de la neige et du vent. Ici, le choix du support, la hauteur, la protection et la circulation d’air deviennent des facteurs déterminants. Une unité extérieure mal placée peut fonctionner… puis devenir problématique en plein hiver. Nous avons priorisé un emplacement protégé mais dégagé, avec gestion des vibrations et drainage approprié.
Erreurs à éviter avant d’acheter (celles qu’on corrige le plus souvent)
-
Choisir la taille sans évaluation réelle : le dimensionnement est une base, pas une supposition.
-
Ignorer le réseau de conduits : un réseau en mauvais état annule les avantages du meilleur équipement.
-
Sous-estimer le retour d’air : trop souvent, on “souffle” bien, mais on “retourne” mal.
-
Mal gérer les condensats : pente, siphon, risque de refoulement, risque de dégâts.
-
Négliger les vibrations : supports, silentblocs, passages de mur, bruit structurel.
-
Installer trop près d’un obstacle : manque de dégagement = performance et fiabilité compromises.
-
Ajouter des accessoires sans cohérence : contrôle, Wi-Fi, interfaces… tout doit rester logique et maintenable.
-
Surdimensionner “par sécurité” : ça peut réduire la déshumidification et augmenter les cycles.
Entretien et pérennité: comment garder la performance année après année
Un système central bien entretenu garde son rendement, son confort et sa fiabilité. Nous recommandons notamment :
-
inspection et nettoyage périodique (selon l’usage),
-
vérification des filtres (et remplacement au bon rythme),
-
contrôle de l’écoulement des condensats,
-
vérification de l’état du réseau de conduits (fuites, isolant, grilles),
-
et validation des paramètres de fonctionnement en début de saison.
En pratique, l’entretien est aussi un moment utile pour ajuster : un changement de configuration (rénovation, ajout d’une pièce, nouvelle utilisation du sous-sol) peut modifier la charge et la distribution. Un système central est “vivant” : il doit rester adapté à la maison.
Pourquoi confier ce projet à AirGreen
Chez AirGreen, nous ne faisons pas une simple installation “standard”. Nous livrons une solution complète et cohérente :
-
évaluation du bâtiment (conduits, statique, dégagements, contraintes),
-
installation propre et durable (supports, isolation, drainage, protection),
-
mise en service et réglages (débits, modes, logique de contrôle),
-
transparence sur les options (Wi-Fi, thermostat, appoint, accessoires),
-
et un service après-vente structuré, basé sur une traçabilité claire des modèles et des choix.
Nous travaillons chaque jour sur des bâtiments réels, avec leurs contraintes réelles. C’est ce qui fait la différence entre une thermopompe centrale qui “fonctionne” et une thermopompe centrale qui devient un vrai confort, simple, stable et rentable.
Prochaine Étape!
Vous envisagez la Thermopompe centrale FUJITSU CENTAURI R32 | 1 Tonne - 12000 BTU pour votre propriété à Montréal, Laval, Longueuil, sur la Rive Nord ou la Rive Sud? Contactez AirGreen pour une estimation sur place et des recommandations claires : dimensionnement, intégration aux conduits, options de contrôle et stratégie de confort. Nous vous guidons vers une solution adaptée à votre bâtiment et à vos priorités.
