Thermopompe centrale FUJITSU CENTAURI XLTH R32 | -30°C | 2.5 Tonnes - 30000 BTU

En stock
Unité de gestion de stock: AOUH30KUAH1
Subvention Provinciale (LogisVert) : 2520$ (Mise à Jour : 26 Novembre 2025)
Numéro de Modèle (Extérieur) : AOUH30KUAH1
Numéro de Modèle (Intérieur) : AMUH30KUAS
AHRI : 217895716
ENERGY STAR® : Oui
ENERGY STAR® (Cold Climate) : Oui / Yes
# ID ENERGY STAR : 4511772
Capacité de Chauffage (Thermopompe) : -30°C
Capacité de Refroidissement : 30 000 BTU
Gaz (Fréon) : R-32
WiFi : En Option

SEER2 (Efficacité de climatisation en saison)

1 18.8 30

HSPF2 (Efficacité de chauffage en saison)

1 10.0 15

EER2 (Efficacité instantanée en climatisation)

1 12.2 20

COP à -8 °C (Rendement énergétique du chauffage)

1 2.1 3
Taille : 2.5 Tonnes
Puissance Nominale : 30 000 BTU
Puissance à -8 °C : 21000 BTU
Puissance à -15 °C : 34000 BTU
Dimensions Intérieure (L x P x H) : 21 x 21 x 48 po
Dehumidification : pt/h
Niveau de Pression Sonore (Intérieur) : 32 / 43 dB(A)

CFM (Débit d'air)

1 1000 1500
Dimensions Extérieures (L x P x H) : po
Tuyauterie :
Niveau de Pression Sonore (Extérieur) : dB(A)
Tension : 220V
MCA (Ampacité minimale du circuit) : A
MOP (Protection maximale surintensité) : A
Garantie (Compresseur - Pièces - Main-d’œuvre) : 12-12-0 ans
Garantie Supplémentaire : Possible

Quand une thermopompe centrale devient un “système de confort” et non une simple machine

Une thermopompe centrale n’est jamais installée dans le vide. Elle arrive dans une maison qui a déjà son histoire : un sous-sol plus humide que le rez-de-chaussée, une chambre au-dessus du garage qui refroidit trop vite, un corridor qui “aspire” l’air, des conduits hérités de rénovations successives, ou un thermostat placé là où il était pratique… pas là où il est utile. C’est exactement pour ça que, chez AirGreen, nous parlons rarement de “produit” seulement. Nous parlons de confort mesurable, de stabilité, et de comportement en conditions réelles à Montréal, Laval, Longueuil, sur la Rive Nord et la Rive Sud.

La FUJITSU CENTAURI XLTH R32 (2,5 tonnes / 30 000 BTU) est intéressante parce qu’elle s’inscrit dans une logique claire : offrir une solution centrale moderne, capable de bien travailler en chauffage même quand l’hiver impose des demandes élevées. Mais l’intérêt d’un article n’est pas de répéter une fiche technique. L’intérêt, c’est de comprendre ce que ce type de système change réellement dans une maison… et pourquoi certains propriétaires sont enchantés, tandis que d’autres restent mitigés avec une thermopompe pourtant “haut de gamme”.

La promesse du central : une maison qui ne vous oblige plus à “négocier” avec la température

Il y a un réflexe qu’on voit souvent : dans plusieurs maisons, les occupants finissent par vivre avec une carte mentale de la température. “Ici il faut une couverture”, “là on ouvre la porte pour que l’air circule”, “le soir on baisse au rez-de-chaussée sinon la chambre devient trop chaude”. On compose.

Un système central bien conçu vise l’inverse : réduire au maximum ces compromis. Le confort n’est pas seulement une question de chaleur. C’est aussi :

  • la constance (moins d’écarts),

  • la sensation d’air (pas de courants agressifs),

  • le bruit (ou son absence),

  • l’humidité perçue,

  • et la capacité à répondre aux journées “bizarres” typiques du Québec (0 °C le matin, +6 °C l’après-midi, puis -10 °C le lendemain).

La FUJITSU CENTAURI XLTH fait partie de ces systèmes qui, lorsqu’ils sont intégrés correctement, peuvent réellement “aplatir” les variations et donner cette impression agréable que la maison est simplement… confortable, sans y penser.


Ce que nous observons sur le terrain : la thermopompe centrale ne se juge pas au jour 1

Le jour de l’installation, tout fonctionne. L’air sort, la température descend en climatisation, le chauffage embarque. Pourtant, la vraie évaluation commence après : première semaine, première pluie froide, première nuit très sèche, première vague de chaleur humide, premiers cycles de dégivrage.

Avec une thermopompe centrale comme celle-ci, il y a trois zones où la différence se joue réellement.

1) L’air : la partie “invisible” qui fait toute la différence

Dans le Grand Montréal, beaucoup de réseaux de conduits ont été modifiés avec le temps. Une cuisine rénovée, une salle de bain ajoutée, un sous-sol refait, une pièce fermée… et le système d’air, lui, n’a pas toujours été recalibré.

Résultat : on installe une excellente thermopompe, mais l’air se distribue comme avant. Et c’est là que les plaintes naissent :

  • pièce trop froide ou trop chaude,

  • sensation de soufflage trop fort à certaines bouches,

  • “ça chauffe mais on dirait que ça ne se rend pas”.

Chez AirGreen, avant de juger la machine, nous jugeons le trajet de l’air. Parce que le confort central, c’est d’abord une histoire de circulation. Même une centrale très performante ne peut pas “corriger” un réseau qui fuit, qui manque de retours d’air, ou qui force des vitesses trop élevées.

Ce que ça change concrètement pour le propriétaire : une bonne intégration permet souvent de baisser la consigne tout en se sentant mieux, simplement parce que la chaleur devient plus uniforme. C’est une économie silencieuse.

2) Le comportement en chauffage : stabilité, dégivrage, et “ressenti”

Une thermopompe annoncée pour le froid attire naturellement l’attention. Mais le quotidien, ce ne sont pas uniquement les extrêmes : ce sont les longues périodes entre -5 °C et -15 °C, les vents, l’humidité, les alternances rapides.

Dans ces conditions, une thermopompe centrale bien réglée donne un confort très particulier : une chaleur moins “brûlante” qu’un chauffage électrique, plus constante, plus douce. En contrepartie, elle demande une approche différente des habitudes :

  • éviter les gros écarts de consigne matin/soir,

  • viser la stabilité plutôt que des variations,

  • et accepter que la machine travaille intelligemment au lieu de “pousser” brutalement.

Nous voyons souvent un même scénario : un propriétaire habitué à un système qui chauffe fort et vite se dit au départ “ça chauffe moins”. En réalité, la maison est plus stable, mais la sensation est différente. Après une ou deux semaines, la plupart apprécient parce que le confort est moins nerveux et l’air moins sec (selon la maison et l’utilisation).

3) Le bruit : la performance qu’on n’écrit pas sur une brochure

Le bruit d’un système central se crée rarement “par hasard”. Il vient de détails : transitions métalliques mal pensées, vitesse de ventilation trop agressive, conduits qui vibrent, plénum trop rigide, ou retour d’air insuffisant. Et quand c’est mal réglé, c’est le genre de défaut qui s’invite dans votre quotidien… à chaque soirée tranquille.

Avec ce type de système Fujitsu, le potentiel d’un fonctionnement discret est réel — mais seulement si l’installation est faite avec une obsession du détail. Chez AirGreen, nous savons qu’un client ne nous appelle pas pour “entendre” son système, mais pour l’oublier.


Une histoire typique : la maison “belle sur papier”, compliquée en vrai

Prenons une situation fréquente à Laval ou sur la Rive Sud : une maison à aire ouverte, rénovée, avec un sous-sol fini. Sur le plan, tout semble simple : une centrale, des conduits, un thermostat.

En réalité, le confort peut devenir capricieux :

  • le sous-sol retient l’humidité,

  • l’aire ouverte crée une grande zone facile à chauffer,

  • mais les pièces fermées (chambres) se comportent différemment,

  • et la cage d’escalier devient un “puits” où l’air circule à sa manière.

Dans ce genre de maison, une FUJITSU CENTAURI XLTH bien intégrée peut être un excellent choix, non pas parce qu’elle est “forte”, mais parce qu’elle peut soutenir une stratégie de confort cohérente : bonne distribution, gestion de l’humidité, et stabilité du chauffage.

Ce que nous faisons souvent dans ces cas :

  • vérifier la logique des retours d’air (souvent sous-estimée),

  • corriger certaines fuites ou restrictions,

  • ajuster le contrôle pour éviter les cycles inutiles,

  • et optimiser l’équilibre pièce par pièce sans promettre l’impossible.

Le résultat recherché est simple à dire : arrêter de “penser à la température” dans la maison.


Les erreurs qui coûtent cher (et qui n’ont rien à voir avec la marque)

C’est ici qu’un article devient utile : les pannes et déceptions viennent souvent de décisions invisibles au moment de l’achat.

Thermopompe trop grande ou trop petite : le piège classique

Avec une centrale, on peut croire qu’“un peu plus gros” donnera plus de confort. Souvent, c’est l’inverse. Un surdimensionnement peut provoquer des cycles courts : la température atteint vite la cible, puis s’arrête, puis repart. Ça peut nuire au confort, au contrôle de l’humidité et parfois à la sensation générale.

À l’inverse, trop petit peut pousser l’appoint trop souvent. La bonne approche, c’est un dimensionnement sérieux qui tient compte du bâtiment réel (isolation, fenêtres, habitudes de vie).

Les conduits laissés “comme ils sont”

Une maison peut avoir de bons conduits… ou des conduits “suffisants” pour l’ancien système, mais non optimisés pour une thermopompe moderne. Une centrale est un investissement : si le réseau d’air est le goulot d’étranglement, le client paie pour une performance qu’il ne ressent pas.

L’électricité et les protections : l’endroit où l’on ne peut pas improviser

Dans plusieurs secteurs de Montréal (plex, panneaux anciens, rénovations par étapes), l’intégration électrique doit être propre et conforme. C’est non négociable. Et c’est un point où l’expérience d’une équipe CVAC fait la différence.


Pourquoi ce modèle attire les propriétaires qui veulent moderniser “sans multiplier les unités”

On voit un mouvement clair : plusieurs propriétaires ne veulent pas nécessairement des systèmes muraux dans chaque zone. Ils veulent une solution centrale, propre, cohérente, compatible avec leurs conduits, et qui garde la maison confortable toute l’année.

La FUJITSU CENTAURI XLTH R32 s’inscrit bien dans cette logique :

  • une approche moderne (R-32),

  • une configuration centrale pour distribution par conduits,

  • une orientation “climat froid”,

  • et des options de contrôle (WiFi en option) qui répondent aux attentes actuelles.

Mais encore une fois : l’intérêt, ce n’est pas le catalogue. C’est la transformation du quotidien. Une bonne centrale, c’est une maison qui devient plus simple à vivre.


L’entretien : le vrai secret d’un système qui reste agréable pendant des années

Une thermopompe centrale n’a pas besoin d’être “chouchoutée”, mais elle a besoin d’être respectée. Dans la pratique, ce qui prolonge la performance :

  • des filtres gérés sérieusement (selon votre usage et votre environnement),

  • une vérification périodique du fonctionnement global,

  • une attention au drainage des condensats,

  • et un suivi qui détecte les petites dérives avant qu’elles deviennent des problèmes.

Chez AirGreen, notre approche est directe : maintenir le système dans son comportement optimal, pas seulement “le réparer quand ça casse”. C’est ce qui protège votre investissement, surtout dans un climat où la machine travaille fort plusieurs mois par année.


Conclusion : un bon choix de produit, mais surtout un bon choix de méthode

La thermopompe centrale FUJITSU CENTAURI XLTH R32 (2,5 tonnes / 30 000 BTU) peut devenir une excellente colonne vertébrale de confort pour une maison du Québec — à condition d’être traitée comme un projet CVAC complet, pas comme une simple substitution d’équipement.

Chez AirGreen, nous intervenons à Montréal, Laval, Longueuil, sur la Rive Nord et la Rive Sud avec une idée simple : livrer un confort que vous ressentez dans votre quotidien, pas seulement des chiffres sur une fiche.

Contactez-nous pour une estimation sur place, une recommandation claire et une installation CVAC réalisée proprement, avec les ajustements qui font réellement la différence.