Thermopompe Centrale LG R32 | 3 Tonnes - 36 000 BTU

Une centrale 3 tonnes pensée pour le Québec : performance, contrôle et confort stable dans toute la maison

Quand un propriétaire nous contacte pour remplacer une ancienne fournaise électrique avec climatiseur, ou une thermopompe centrale en fin de vie, les objectifs reviennent toujours : température uniforme, humidité maîtrisée, bruit réduit, facture d’énergie raisonnable et un système qui tient le coup quand l’hiver à Montréal impose de vraies amplitudes. La Thermopompe Centrale LG R32 | 3 Tonnes - 36 000 BTU s’inscrit exactement dans cette logique, à condition que trois éléments soient traités avec sérieux : le dimensionnement, l’intégration aux conduits et la mise en service.

Chez AirGreen, nous installons des systèmes centraux dans des contextes très différents : des duplex à Rosemont–La Petite-Patrie où l’enveloppe a été améliorée par étapes, des unifamiliales à Laval (Fabreville, Chomedey) avec de grands volumes ouverts, des maisons récentes sur la Rive Sud ou la Rive Nord avec des conduits plus “modernes” mais parfois mal équilibrés. Dans ces scénarios, une centrale 3 tonnes est souvent un bon format, mais elle doit être “accordée” au bâtiment, comme on règle un instrument : sans cela, on peut avoir un système performant sur papier, mais irrégulier dans la vie de tous les jours.

Fiche technique utile (les données qui comptent sur le terrain)

Voici les informations importantes pour comprendre ce que cette LG peut livrer et comment la préparer à exceller :

• Capacité de climatisation : 36 000 BTU (3 tonnes)

• Taille : 3 Tonnes

• Puissance nominale : 36 000 BTU

• Gaz (fréon) : R-32

• Modèle extérieur : KUSXB361A

• Modèle intérieur : KNSLB361A

• AHRI : 215812199

• ENERGY STAR® : Oui

• ENERGY STAR® (Cold Climate) : Oui / Yes

• Capacité de chauffage annoncée : jusqu’à -16 °C

• Puissance à -8 °C : 27 000 BTU (indicateur concret pour l’hiver)

• Puissance à -15 °C : 33 000 BTU

• Niveau de pression sonore (intérieur) : 35 / 40 dB(A)

• Niveau de pression sonore (extérieur) : 54.0 dB(A)

• Déshumidification : 7.17 pt/h

• Dimensions intérieures (L x P x H) : 21 x 21.38 x 55.88 po

• Dimensions extérieures (L x P x H) : 37.41 x 15.32 x 54.34 po

• Tuyauterie : 3/8 – 5/8

• Tension : 220V

• MCA : 32A

• MOP : 35A

• Wi-Fi : en option

• Garantie (compresseur – pièces – main-d’œuvre) : 10-10-0 ans (garantie supplémentaire possible)

• Subvention provinciale (LogisVert) : 3 240 $ (mise à jour : 26 novembre 2025)

Ces chiffres prennent tout leur sens quand on les relie aux réalités d’une maison : la capacité de refroidissement pour l’été humide, la capacité de chauffage en températures négatives, le niveau sonore, et surtout la cohérence entre la machine et le réseau de conduits.

Le R-32 : ce que ça change réellement pour un propriétaire

Le R-32 n’est pas un argument “marketing” pour une fiche produit : c’est un choix technique moderne, cohérent avec l’évolution du secteur CVAC. Pour un propriétaire à Longueuil, Brossard, Terrebonne ou Blainville, l’intérêt est simple :

• Continuité et modernité : un système récent et aligné sur les standards actuels du marché.

• Performance stable : les thermopompes de dernière génération sont pensées pour une meilleure modulation et une gestion plus fine du confort.

• Entretien et service : quand l’installation et la mise en service sont faites méthodiquement (tirage au vide, contrôle d’étanchéité, vérification des paramètres), on obtient un système plus fiable et plus constant dans le temps.

Ce n’est pas le réfrigérant seul qui garantit le confort, mais l’ensemble “machine + installation + réglages + entretien”. Et c’est exactement là que se joue la différence entre une installation qui vous satisfait dès la première saison et une installation qui génère des appels de service inutiles.

L’unité intérieure : l’endroit où se gagne (ou se perd) la qualité de confort

Dans un système central, l’unité intérieure n’est pas qu’un “bloc” technique : c’est le cœur de la distribution d’air. Elle influence :

• la pression statique dans les conduits (donc le bruit et le débit),

• la déshumidification (clé de confort en été),

• la stabilité des cycles (éviter les arrêts/redémarrages trop fréquents),

• la cohérence entre les pièces éloignées et les pièces proches.

C’est aussi l’endroit où l’entretien régulier est le plus rentable : un filtre négligé ou un drain problématique peut réduire la performance d’une machine parfaitement fonctionnelle.

Pourquoi une centrale est souvent le meilleur choix (et quand elle ne l’est pas)

Pour beaucoup de propriétés dans le Grand Montréal, une thermopompe centrale est idéale quand :

• il y a déjà un réseau de conduits utilisable,

• on veut un confort homogène dans plusieurs pièces,

• on veut une solution discrète visuellement,

• on souhaite une gestion simple via thermostat.

Cependant, une centrale n’est pas automatiquement “la meilleure” si :

• les conduits sont trop petits ou trop fuyants,

• le retour d’air est insuffisant,

• certaines zones sont structurellement difficiles (ex. étage très exposé, sous-sol très froid).

Dans ces cas, nous proposons des corrections ciblées (conduits, retours d’air, équilibrage) ou une stratégie hybride. L’objectif n’est pas d’installer “un produit”, mais de livrer un confort stable dans la réalité de votre bâtiment à Montréal, Laval ou sur la Rive Sud / Rive Nord.

Ce que les propriétaires remarquent vraiment après l’installation

Un projet bien exécuté se traduit par des effets concrets :

• une maison qui ne “varie” plus de façon marquée entre le salon et les chambres,

• une sensation d’air plus constant, moins agressif,

• un été plus confortable grâce à une meilleure gestion de l’humidité,

• moins de bruit aux grilles quand la pression est bien maîtrisée,

• une impression de contrôle : thermostat clair, consignes stables, logique de fonctionnement expliquée.

Ce sont ces détails qui transforment un achat en satisfaction à long terme.

Installation et réglages : la méthode AirGreen pour une centrale 3 tonnes fiable, silencieuse et agréable

Une thermopompe centrale peut être excellente et pourtant décevoir si le chantier est mené “vite”. Les problèmes classiques que nous corrigeons après des installations précipitées sont connus : cycles trop courts, conduits bruyants, humidité mal contrôlée, zones inconfortables, drain mal conçu, ou encore une alimentation électrique non optimisée. Voici notre façon de procéder, étape par étape, avec une logique terrain.

1) Dimensionnement : le point qui influence tout le reste

Le 36 000 BTU ne se choisit pas “par habitude”. Un mauvais dimensionnement coûte cher de deux façons :

• Trop petit : la machine force, le confort chute en pointe de froid, la consommation grimpe.

• Trop grand : cycles courts, humidité moins bien contrôlée, sensations d’air irrégulières, usure accélérée par démarrages fréquents.

Notre démarche :

• validation des superficies et volumes (plafonds hauts, mezzanine, sous-sol fini),

• analyse de l’isolation réelle (pas seulement l’année de construction),

• prise en compte des grandes surfaces vitrées (très fréquent à Ville-Marie, Griffintown, certains secteurs de Longueuil),

• discussion sur les habitudes : horaires, températures visées, pièces prioritaires.

Erreur fréquente à éviter : remplacer “même tonnage” sans revalider la maison. À Montréal, une rénovation énergétique progressive peut changer radicalement le besoin réel. Un 3 tonnes peut devenir trop grand après isolation + fenêtres + étanchéité.

2) Réseau de conduits : l’élément le plus sous-estimé

Dans la vraie vie, une grande partie des insatisfactions vient du réseau de conduits. Même une excellente thermopompe ne peut pas compenser :

• des conduits trop étroits,

• des fuites d’air dans les combles ou un sous-sol,

• un retour d’air insuffisant,

• des registres absents ou mal ajustés,

• des bouches mal dimensionnées.

Ce que nous faisons systématiquement :

• inspection des jonctions et étanchéité,

• vérification du retour d’air (souvent le talon d’Achille),

• repérage des zones “orphan” (pièces éloignées qui manquent de débit),

• équilibrage des débits aux grilles et ajustements réalistes.

Pourquoi c’est crucial pour l’été à Montréal : quand le débit n’est pas cohérent, la déshumidification souffre. Résultat : température correcte, mais sensation d’humidité persistante. Le confort ne se résume pas à un chiffre au thermostat.

3) Installation de l’unité intérieure : accessibilité, drainage, vibrations

Une unité intérieure bien installée doit permettre :

• un accès simple pour changer le filtre,

• un accès raisonnable aux composants pour l’entretien,

• un drain conçu pour durer (pente, siphon, prévention des odeurs),

• un montage qui limite les vibrations et résonances.

Erreur fréquente à éviter : une installation “compacte” qui rend le filtre inaccessible. C’est le scénario parfait pour un filtre négligé, une baisse de débit et un système qui semble “moins performant” alors qu’il étouffe.

4) Drain, humidité, été : là où se jouent les appels de service inutiles

À Laval et sur la Rive Sud, on voit souvent des sous-sols plus humides. En été, une centrale fonctionne beaucoup pour gérer l’humidité intérieure. Un drain mal pensé peut provoquer :

• débordements,

• odeurs,

• humidité autour de l’unité,

• moisissures dans les zones confinées.

Notre objectif : un drainage propre, stable et facile à inspecter. C’est un détail qui n’en est pas un.

5) Électricité et protections : fiabilité et sécurité

Ici, on parle d’une alimentation 220V, avec MCA 32A et MOP 35A. En pratique, cela implique :

• un disjoncteur approprié,

• un câblage au bon calibre,

• des connexions soignées,

• une vérification du panneau électrique si la capacité est limite.

Dans des propriétés plus anciennes à Montréal (Plex, bâtiments rénovés par phases), ce volet est essentiel pour éviter des coupures intempestives et protéger la machine.

6) Mise en service : transformer une installation en système performant

Une mise en service sérieuse n’est pas une formalité. Nous cherchons un résultat mesurable et durable :

• stabilité des températures,

• débits cohérents,

• contrôle du drainage,

• fonctionnement normal dans différents modes,

• explications concrètes au client (thermostat, consignes, bonnes pratiques).

Ce que nous expliquons systématiquement :

• comment choisir une consigne réaliste (éviter de “jouer au yo-yo”),

• comment utiliser les plages horaires intelligemment,

• comment surveiller le filtre,

• comment dégager l’unité extérieure (neige, feuilles, circulation d’air).

Un client bien informé garde sa machine en santé plus longtemps et évite des coûts inutiles.

Scénarios réels qu’on rencontre souvent (et comment on les règle)

Cas 1 – Maison à Laval : inconfort l’hiver malgré une machine neuve
Le client avait l’impression que “ça chauffe, mais pas pareil partout”. Le problème n’était pas la thermopompe : c’était un retour d’air insuffisant et un équilibrage absent. Après correction du retour et ajustement des débits, la maison est devenue beaucoup plus stable, surtout dans les pièces éloignées.

Cas 2 – Duplex à Montréal : bruit aux bouches et sifflements
Le bruit était causé par une pression statique trop élevée dans une section de conduits sous-dimensionnée. Une modification ciblée et un équilibrage ont réduit les sifflements, tout en améliorant la distribution dans les chambres.

Cas 3 – Rive Sud : humidité inconfortable l’été
Température correcte, mais sensation “lourde”. Nous avons traité la cause : débits mal répartis et fonctionnement non optimisé. Après réglages et conseils d’utilisation, l’humidité a été mieux contrôlée sans transformer la maison en “chambre froide”.

Cas 4 – Rive Nord : cycles courts et confort irrégulier
Dans une maison très rénovée et étanche, l’ancienne logique de tonnage ne s’appliquait plus. La solution a été de revoir la stratégie (réglages, contrôle de débit, et recommandations ciblées). Résultat : cycles plus stables, confort plus constant.

Ces cas illustrent une réalité : le confort dépend autant de la lecture du bâtiment que de la machine.

Entretien : ce qui protège vraiment votre investissement

Pour une thermopompe centrale à conduits, l’entretien le plus rentable est régulier et simple :

• Filtre : vérification et remplacement selon votre environnement (poussière, animaux, rénovations).

• Drain : inspection préventive, nettoyage si nécessaire.

• Unité extérieure : dégagement autour, nettoyage doux, vérification des obstructions.

• Visite d’entretien CVAC : contrôle général, inspection des connexions, validation du fonctionnement.

Erreur fréquente : attendre “qu’il y ait un problème”. En CVAC, un petit symptôme (débit réduit, bruit inhabituel, humidité) est souvent un signal simple à corriger avant qu’il ne devienne coûteux.

Optimisation du confort : conseils pratiques que nous donnons à nos clients

Pour tirer le meilleur d’une centrale LG 3 tonnes :

• garder des consignes stables (éviter des écarts extrêmes),

• ne pas bloquer les retours d’air (meubles, tapis, portes fermées en permanence),

• vérifier les grilles (éviter de fermer trop de bouches, ce qui augmente la pression),

• dégager l’extérieur en hiver (accumulation de neige et glace autour),

• planifier un entretien au bon rythme.

Ces gestes simples améliorent la constance du confort dans les maisons de Montréal, Laval, Longueuil, et partout sur la Rive Nord et la Rive Sud.

Pourquoi choisir AirGreen pour ce modèle LG

Dans un projet de CVAC résidentiel, le client n’achète pas seulement une marque : il achète une méthode d’installation, une mise en service, et une capacité à résoudre les détails qui font la différence.

Chez AirGreen :

• nous analysons les conduits au lieu de “poser et partir”,

• nous visons une distribution cohérente pièce par pièce,

• nous priorisons le silence et la stabilité (pas uniquement la puissance),

• nous expliquons clairement le fonctionnement et l’entretien,

• nous servons quotidiennement Montréal, Laval, Longueuil, la Rive Nord et la Rive Sud avec une approche structurée et transparente.

À retenir avant de choisir une centrale 3 tonnes

• Le dimensionnement détermine la qualité de confort et la stabilité des cycles.

• Le réseau de conduits et le retour d’air font souvent la différence entre “ça marche” et “c’est agréable”.

• Une mise en service méthodique améliore la fiabilité et la performance dans le temps.

• Le R-32 et la certification ENERGY STAR® Cold Climate s’inscrivent dans une logique moderne et adaptée au climat du Québec.

Pour une estimation sur place gratuite, une évaluation de vos conduits et une proposition claire (incluant les options pertinentes et la logique des subventions), contactez AirGreen. Nous desservons Montréal, Laval, Longueuil, la Rive Nord et la Rive Sud.
Appelez-nous au 514-316-2973 ou écrivez à sales@airgreen.ca pour obtenir une soumission et planifier une visite.